Retour sur les Universités de Rentrée 2014 du MoDem à Guidel

ur2014

Discours de Clôture

http://dai.ly/x26dsee

Discours fort, combatif et reposant sur une analyse sérieuse et consciente des réalités de François Bayrou lors de cette université de rentrée du Modem à Guidel en Bretagne.

François Bayrou, a prôné les « convictions » face aux « soumissions » :«Je veux vous dire ceci, simplement mais gravement: la politique française a besoin de tout sauf d’un parti unique.», ajoutant que : «La politique française a besoin de tout, sauf d’un parti unique, elle a le plus grand besoin d’échapper à la mainmise d’un appareil unique, de courants internes d’un appareil unique, (…) des habitudes et des dérives que nous ont imposées depuis des années le monopole du PS et de l’UMP».

Le président du MoDem avait réservé, dimanche à Guidel dans le Morbihan, la dernière partie de son discours, prévu en clôture de l’université de rentrée du mouvement, pour insister sur un point précis. «Ce que je dis devant vous, non pas sur Facebook, mais devant une salle engagée, a-t-il poursuivi, c’est qu’il faut exactement le contraire, il faut du débat, de la liberté de pensée, de la confrontation d’idées, il faut, non pas des satellites et des soumissions mais des ego, des partenaires de plein exercice.» Puis, s’engageant publiquement au nom des militants du MoDem et en leur «nom», François Bayrou a assuré, comme une promesse: «La tentative toujours recommencée de soumettre subrepticement le centre, je suis garant qu’elle ne réussira pas plus aujourd’hui qu’elle n’a réussi hier.» Et de prévenir : «Je suis garant que personne, qu’aucune manœuvre ne privera les Français de ce droit au pluralisme et au dialogue et, s’il le faut, du droit à la confrontation entre la diversité des courants politiques et des visions de l’avenir de notre pays». «Je suis garant de l’indépendance du centre», a-t-il répété, insistant sur «la liberté» et «l’indépendance» de ce courant de pensée, un courant «enfin uni». Mais, il a aussi ajouté qu’il n’avait «pas l’intention» de «se spécialiser dans quelque anti-sarkozysme que ce soit». «La tentative toujours recommencée de soumission du centre, elle ne réussira pas plus aujourd’hui qu’elle n’a réussi hier», a-t-il martelé, s’adressant aussi aux «amis de l’UDI», a-t-il prévenu enfin en soulignant que les principes qu’il défendra «N’empêche en rien les ententes, les alliances, les rassemblements», «Au contraire, clame-t-il, on s’entend mieux quand on est pleinement soi-même!» (L’UDI, qui cherche un successeur à Jean-Louis Borloo d’ici novembre, devra en effet se positionner.)

Il a aussi moqué «beaucoup de responsables politiques» qui «sont devant Marine Le Pen comme des lapins pris dans les phares d’une voiture, en catalepsie!», et balayé tous les thèmes qui lui tiennent à cœur: la dette, l’Éducation nationale, la reconquête de État, la moralisation de la vie politique (…) sans oublier son combat contre la privatisation des autoroutes ou encore l’arbitrage accordé à Bernard Tapie … sous la présidence de Nicolas Sarkozy.

Jean Arthuis, vice-président de l’UDI, a souligné, pour sa part, «l’urgence de rassembler la famille centriste», vanté les «débats stimulants» du MoDem et promis de revenir «plus souvent». Même Sandro Gozi, le secrétaire d’État italien aux Affaires européennes, s’est adressé aux militants dans un message de soutien, empêché de venir à cause de la grève des pilotes d’Air France.

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Hommage à Jean Pierre Humblot

Comme chaque année, la Ville de Nancy rend hommage à Jean-Pierre Humblot, victime d’un crime homophobe en 2003. Ce vendredi 1er août à 19 heures devant la stèle érigée à sa mémoire, aux côtés des associations LGBT partenaires. Un dépôt de gerbes a été fait par la Ville de Nancy, La Communauté Urbaine du Grand Nancy, Le Conseil Général de Meurthe et Moselle et les associations.

J’étais présent comme chaque année, bien qu’ayant quitté le milieu associatif. Certains étaient surpris de ma présence… comme si… il suffisait d’être adhérent associatif pour trouver un intérêt à porter la mémoire de Jeannot !

La mémoire est un engagement de chaque instant, du quotidien !

Depuis ce crime homophobe, la ville de Nancy rend hommage chaque année à Jean-Pierre Humblot lors d’une cérémonie solennelle. L’occasion pour les représentants politiques de tous bords de rappeler leur lutte contre l’homophobie. Mais les associations aussi mettent en avant leur travail à cette occasion comme nous avons pu le voir cette année encore avec la création du Kreuji, Maison LGBT de Nancy. Une création qui intervient après 11 années suite à une demande de l’association Alter Égaux (aujourd’hui disparue) qui en 2003 avait contacté les autres associations pour porter un tel projet (auxquelles les autres associations n’avaient pas répondu à l’époque). Il faudra attendre 2011 pour que ce projet fasse enfin l’objet d’un travail collectif sous l’autorité de André Rossinot, Maire de Nancy. L’ouverture au public de cette maison devrait avoir lieu très prochainement.

Retour en Images sur la cérémonie

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Hommage à Gilbert Antoine

Le 19 septembre 2013, notre ami Gilbert Antoine nous a quittés.
Trop vite, trop tôt, trop brusquement. Sans crier gare.

Il était le 1er adjoint au maire de Laxou mais au delà de son engagement sans faille au Mouvement Démocrate, Gilbert était un ami, un homme généreux, altruiste, passionné, amoureux de la vie, cher, et rare.
Sa bonne humeur , sa chaleur communicative, sa fidélité en amitié et en politique, sa sagesse, ses idées, faisaient de lui un humaniste prompt à insuffler ce profond désir d’engagement, et d’accompagner le parcours de chacun.

Son épouse, Anne-Marie Antoine a décidé de poursuivre son action politique au sein de la ville de Laxou, fidèle à ce message qu’il portait que « l’esprit s’enrichit de ce qu’il reçoit, le cœur de ce qu’il donne. »

Le 12 juillet 2014, une très émouvante cérémonie d’hommage a été rendue à notre regretté ami Gilbert Antoine, en présence de Laurent Garcia, maire de Laxou, André Rossinot, président du Grand Nancy ainsi que de nombreux élus de la Communauté Urbaine et des membres du MoDem 54.

Le parvis de l’hôtel de ville de Laxou porte désormais son nom.

Retour en Image sur la cérémonie

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Débats et meeting de l’entre deux tours

Retrouvez ci dessous les différents débats

Est Républicain

France bleu Sud Lorraine (prochainement)

France 3 Lorraine

Et bien sûr les photos du meeting d’hier soir Salle Gentilly, où Laurent Hénart a encore fait le plein avec plus d’un millier de personnes (dont 600 places assises), avec comme soutien de poids, Xavier Bettel, le premier ministre Luxembourgeois

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Repas de Campagne de Laurent Hénart Public

Chers Amis,

Je vous attends nombreux à notre Repas de Campagne. Un mois avant le premier tour, affichons notre amour de Nancy, notre joie d’être ensemble.
Et notre appétit de victoire !

Laurent Hénart

Salle des fêtes de Gentilly / 11, rue du Rhin / Nancy

Inscription avant le 20 Février 2014
Repas adulte(s) : 20 €
Repas enfant(s) : 10 €

Téléchargez le coupon en cliquant sur ce lien : http://www.henart2014.fr/uploads/pdf/repas-campagne-20140223_LH.pdf

Imprimez le coupon et envoyez le coupon à la Permanence de Laurent HENART / 6, rue Saint-Dizier / 54000 Nancy

Ordre du chèque : AFE LH NANCY 2014

Informations pratiques :

• Parking Relais Nancy Gentilly
• Ligne 2 (arrêt Palais des sports de Gentilly)
• Covoiturage à la demande

Tél. : 03 83 32 03 58
Mail : contact@henart2014.fr

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Tensions de plus en plus inquiétantes en Ukraine !

Quand je vois à quel niveau augmente les violences on ne peut que s’inquiéter des suites à venir dans les prochains jours. Cela fais déjà deux mois que les violences opposent le gouvernement « pro-Russe » à l’opposition « pro-Européenne ». Les uns veulent renforcer les alliances stratégiques avec la Russie, niant la séparation douloureuse du pays avec la mère patrie qui a eu lieu au moment de l’effondrement de l’ex-URSS ; tandis que les autres veulent suivre le chemin des autres pays de l’Est qui ont rejoint massivement l’Union Européenne durant les élargissements de 2004 et 2007.

Les violents affrontements entre manifestants pro-européens et forces de l’ordre ont fait cinq morts et 300 autres blessés à Kiev, (L’opposition a fait état de son côté de 1.700 blessés au total ces derniers jours, sans qu’il soit possible de vérifier ce chiffre. Lors d’une confrontation qui tourne à la guérilla urbaine et a provoqué mercredi de vives réactions de l’Union européenne et des Etats-Unis, le tout non loin du Parlement ukrainien. Cocktails Molotov d’un côté, contre grenades lacrymogènes de l’autre, c’est à cet endroit que les premiers échanges entre les deux camps se sont déroulés.

Deux mois pour réagir, alors que les élections Européennes approchent !

L’Union Européenne a tardé à réagir, c’est le moins que l’on puisse dire. Alors que de notre coté l’Europe ne fait plus rêver, que la campagne électorale tarde franchement à débuter, que les mouvements fascistes et extrémistes sont annoncés gagnants de l’élection dans la quasi-totalité des 28 pays et que l’on s’attend à une abstenions record… du coté Ukrainien on se bat dans les rues, il y a des centaines de blessés, même des morts, juste pour avoir le droit démocratique de choisir de voir son pays être simplement candidat à l’adhésion à l’Union Européenne. D’un coté on refuse d’aller voter… de l’autre des manifestants isolés ou tombés étaient battus sans ménagement à coup de pieds et de matraque, selon les journalistes sur place.

Extrémistes ou non ?

D’un coté, le président de la Commission européenne, José Manuel Barroso a averti Kiev de «possibles actions» et de «conséquences pour les relations» avec l’Ukraine, tandis que les États-Unis ont annoncé de premières sanctions en révoquant les visas de responsables ukrainiens impliqués dans les violences. De l’autre, Moscou a pour sa part dénoncé «l’ingérence étrangère» dans les affaires intérieures de l’Ukraine, tout en estimant de son côté que l’opposition «extrémiste» en violait «outrageusement la Constitution» et le président Ianoukovitch a appelé dans la matinée les Ukrainiens à ne pas suivre «les extrémistes». Certains diront que dès qu’il y a manifestations dans les rues, il y a forcément des extrémistes qui en profitent pour s’adonner joyeusement à leur passe temps préféré se résumant à la violence… d’autres diront que la démocratie on peut toujours l’invoquer pour lutter contre les violences, mais comment sans calmer quand la seule réponse du gouvernement en place se résume aux bombes lacrymogènes, aux coups de matraque et au vote de lois liberticides vont entrer aujourd’hui. Une raison de plus de voir les violences redoublées quand tout dialogue est rompu et que la liberté de manifester et tout simplement rendue illégale ! Ces nouvelles lois vont interdire pratiquement toutes les formes de manifestations dans toute l’Ukraine et durcir les peines de prison, allant jusqu’à 5 ans.

Le tout étant de justifier ces mesures qui, selon le président Ukrainien Viktor Ianoukovitch, sont le seul moyen d’endiguer les manifestations qui menacent de faire tomber tout le pays. Une position partagée par le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, qui a estimé que la situation était en train « d’échapper à tout contrôle ». Réaction peut surprenante quand on sait que ces nouvelles lois ukrainiennes ont comme modèles des lois… russes.

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Un manifestant tient un bouclier anti-émeute de la police, devant une barricade située devant le Parlement européen, dans le centre de Kiev, mardi 21 janvier. AFP PHOTO / GENYA SAVILOV

L’opposition a d’ores et déjà prévenue que contre ces lois ils se mobiliseront d’avantage ! Ce scénario redouté pourrait faire dégénérer la crise politique en Ukraine en un déchaînement de violences. Ironiquement, il se dessine mercredi 22 janvier, le jour de l’unité nationale en Ukraine, censée célébrer l’unification de l’Est et de l’Ouest. Le président ukrainien Viktor Ianoukovitch a rencontré trois dirigeants de l’opposition pour tenter d’obtenir une sortie de crise. La réunion a duré trois heures, et n’a visiblement pas abouti. Les trois opposants, dont l’ex-boxeur Vitali Klitschko, sont revenus sur la place, et ont menacé de passer « à l’offensive » si « Ianoukovitch ne fait pas de concessions ». « On résistera, et si nécessaire, on attaquera », a-t-il lancé devant la foule, avant d’ajouter que « la police se prépare à nous chasser ». Bref le pire est à craindre !

Rassemblement des Centres, UDI–MODEM : l’alternative devient possible !

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Communiqué de presse

Jeunes Démocrates

de Meurthe et Moselle

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Rassemblement des Centres, UDI–MODEM : l’alternative devient possible !

Les Jeunes Démocrates de Meurthe et Moselle se félicitent de l’union du MoDem et de l’UDI qui s’est scellée ce mardi 05 Novembre 2013.

François Bayrou et Jean Louis Borloo, en un geste historique, ont démontré leurs forces d’union face à un état d’urgence pour la France.

« L’union des centres », c’est un rapprochement, une entente, une coopération, et non pas une fusion. Chacun des deux mouvements, le MoDem et l’UDI, garde ses structures et sa vie interne.

Nous croyons en cette capacité de changer en mobilisant l’ensemble des forces vives de notre pays, pour l’intérêt général.

Les Jeunes Démocrates 54 et les Jeunes UDI 54 avons anticipé cette union et préalablement travaillé  pleinement sur l’Europe, un sujet cher à nos yeux.

Cette volonté de travailler ensemble, dans le respect de l’autre, avec nos valeurs communes – « humanistes, républicaines, démocrates, réformistes, européennes » nous rassemble.

Nous  posons  aujourd’hui  la  première  pierre  d’une  démarche tout à fait novatrice pour bâtir un programme de

reconstruction nationale durable.

Nous jeunes de l’ Alternative 54 seront pleinement acteurs  de  cette  reconstruction.  Pas  pour  une  élection, pour une génération.

Les valeurs  rassemblent, les étiquettes divisent.

Construisons !

Séverin Lamotte

Président des Jeunes Démocrates 54

Membre du Bureau national Jeunes Démocrates

Udi-MoDem, l’Alternative: une offre politique nouvelle

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L’union des centres vient d’être scellée cet après-midi entre François Bayrou et Jean-Louis Borloo. C’est une première étape, nous en reparlerons longuement dans les jours qui viennent. Je n’en doute pas.Je me réjouis de cette union des centres. Je souhaitais vous le faire savoir.

« L’union des centres », c’est un rapprochement, une entente, une coopération, et non pas une fusion. Chacun des deux mouvements, le MoDem et l’Udi, garde ses structures et sa vie interne. C’est une volonté de travailler ensemble, dans le respect de l’autre, avec nos valeurs communes: humanistes, républicaines, démocrates, réformistes, européennes.Elle donne par conséquent une voie nouvelle à la politique.
Cette voie est la preuve que nous sommes en mesure de proposer tandis que d’autres se divisent.
Elle est la preuve que nous ne nous enfermons pas dans un système étriqué et que nous sommes capables de tourner le dos à la rivalité lorsque l’urgence s’impose. Cette urgence, elle nous est dictée par la situation de notre pays.

Le choix que nous faisons aujourd’hui prouve que nous sommes des progressistes. Et parce que nous sommes des progressistes, nous croyons toujours en la mobilisation des forces vives de notre pays.Nous croyons en cette capacité de changer en mobilisant l’ensemble des forces vives de notre pays.Quand les partis politiques traditionnels sont à bout de souffle, qu’ils montrent qu’ils sont en fin de vie, qu’ils ne répondent plus aux attentes citoyennes ou qu’ils ne sont plus que des écuries pour les élections présidentielles, nous avons le courage et l’audace de nous unir pour apporter un renouveau en politique.

Nous avons décidé de nous rassembler et d’unir nos forces, non pas pour nous, mais pour les Français.Nous serons l’alternative face à l’impuissance politique. Nous le serons avec tous ceux qui voudront nous rejoindre et former une large majorité que nous souhaitons aller de la droite républicaine qui partage nos valeurs, aux écologistes, et aux sociaux-démocrates.Nous posons aujourd’hui la première pierre d’une démarche tout-à-fait novatrice pour bâtir un programme de reconstruction nationale durable.

De grands chantiers se profilent devant nous. Nous les mènerons.Pour ce faire, il est vital que nos institutions soient repensées.Nous y travaillerons. Nous y travaillons. Pas pour une élection, pour une génération.Avec vous ! Pour qu’ensemble nous devenions les acteurs centraux de ce renouveau.
Parce que j’aime tous ceux qui se lancent des défis pour faire avancer les choses, tous ceux qui osent se dépasser et résister, tous ceux qui acceptent la compétition et la remise en question, à la recherche vraie et sincère de moyens d’actions à mettre au service de notre société.

Pour toutes ces raisons, je compte sur vous !

Parce que c’est ainsi que les sociétés progressent.

Amitiés démocrates

Danièle NOËL

Présidente MoDem 54

Nancy, le 05/11/2013

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Télécharger la charte (pdf)

Vidéo et de la conférence de presse

▶ UDI-MoDem, l’alternative – Conférence de presse – 051113 – Vidéo Dailymotion.

François Bayrou et Jean-Louis Borloo, invités du 20h sur TF1

François Bayrou et Jean-Louis Borloo, invités du 20h sur TF1 – 051113 – Vidéo Dailymotion.

Les noces Borloo-Bayrou le 5 novembre

INFO JDD – Les deux centristes vont officialiser leur alliance d’ici dix jours. Jean-Louis Borloo et François Bayrou ont mis la dernière main à leur charte commune cette semaine.

Plus rien ne s’oppose désormais au mariage Borloo-Bayrou. Annoncé pour la mi-octobre, le rassemblement des deux centristes et de leurs deux formations, l’UDI et le MoDem, devrait être scellé d’ici dix jours. Une conférence de presse doit être organisée le lundi 4 ou plus probablement le mardi 5 novembre, afin que les parlementaires puissent assister à cette union politique pour les prochaines échéances électorales. Yves Jégo, côté UDI, et Marielle de Sarnez, côté MoDem, ont été chargés de l’organisation de l’événement.

En milieu de semaine, Jean-Louis Borloo et François Bayrou ont mis la dernière main à leur charte commune. Une trentaine de lignes « pleines de subtilités », reconnaît l’un de ceux qui ont pu la lire. L’UDI a par exemple tenu à y faire figurer la mention de sa force parlementaire, alors que le MoDem n’a plus que quelques élus. Reste à nommer cette famille élargie. Jean-Louis Borloo penche pour « l’Alternative ». Au MoDem, on se dit prêt à lui laisser le dernier mot.

S.Q. – Le Journal du Dimanche

samedi 26 octobre 2013